Dans ArcInfo du 26 août, la photo de Muriel Antille, représentant les 4 candidat·e·s PLR devant l’ancien Petit Paris, symbole pas si ancien de la gauche chaux-de-fonnière unie, est riche de sens cachés.

Elle est d’abord sympathique et marque un virage à 180 degrés avec le sérieux compassé qu’instillait Madame Sylvia Morel, qui voit son compte réglé dans l’article. On apprend que le parti de droite, à la dérive pendant ces douze dernières années (avec Pierre-André Monnard et Sylvia Morel aux commandes), est favorable à un véritable service de l’économie, contrairement à Madame Morel qui voulait tout gérer toute seule avec… sa secrétaire.

Dans ce sens, le virage à droite souhaité par M. Jurt pour la ville est rempli de bon sens. Le PLR ne savait plus conduire sa voiture qui zigzaguait entre l’incompétence et la rigidité. Il faut dans cette ville un parti de centre-droit moderne, avec de la hauteur de vue et qui sache où il va.

Cette photo est ensuite assez comique dans les « connotations » générées par la mise en place visuelle de ce portrait de groupe.

Les PLR ont choisi l’anglais pour leur badge (I ❤️ CDF), un « café« , La Différence (d’avec le Petit Paris, bien français) pour leur stamm, une ancienne Bierhalle à l‘allemande.

L’ensemble fleure donc bon la Tchaux de gauche recyclée à droite, le franglais à la mode branchée des emojis et les futures tournées de chopes pour fêter d’hypothétiques succès.

Bonne campagne, bien chère et bien chers, mais ne commencez pas à polluer tous les poteaux communaux avec votre autocollant ! Et d’autant moins devant une blanchisserie.